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Éditorial

La mortalité liée à l'amiante : une exportation canadienne

Amir Attaran, David R. Boyd and Matthew B. Stanbrook
CMAJ October 21, 2008 179 (9) 873-874; DOI: https://doi.org/10.1503/cmaj.081559
Amir Attaran LLB DPhil
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David R. Boyd LLB
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Matthew B. Stanbrook MD PhD
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  • © 2008 Canadian Medical Association

La semaine prochaine, quelques fonctionnaires canadiens iront à Rome assister à la 4e réunion de la Conférence des parties à la Convention de Rotterdam, traité régissant le commerce des substances qui causent un préjudice à la santé humaine et à l'environnement. Leur mission? Si le passé est garant de l'avenir, ils y représenteront le gouvernement du Canada pour protéger l'industrie de l'amiante canadienne, même si cela signifie contribuer à la morbidité et à la mortalité reliées à l'amiante dans le monde en développement.

L'accusation est dure, mais le Canada est la seule démocratie occidentale à s'être constamment opposée aux efforts internationaux visant à réglementer le commerce mondial de l'amiante1–3. Et le gouvernement du Canada l'a fait en manipulant honteusement les connaissances scientifiques par des moyens politiques.

Il y a déjà plusieurs années que l'Australie, le Chili et l'Union européenne ont proposé d'ajouter le chrysotile (principale fibre d'amiante utilisée aujourd'hui) à la liste des substances régies par la Convention de Rotterdam. La Convention oblige le gouvernement exportateur, avant l'expédition d'une substance dangereuse, à prévenir le gouvernement importateur pour qu'il puisse consentir en toute connaissance de cause à recevoir ou non la substance en question4. Il s'agit essentiellement d'un régime de politesse. La convention n'interdit pas le commerce des substances dangereuses et n'oblige pas le Canada à réduire de même un gramme ses exportations d'amiante — à moins, bien entendu, que le gouvernement du pays importateur refuse de consentir à l'importation lorsqu'on lui demande son consentement.

On pourrait croire impossible que le gouvernement du Canada s'oppose à la convention et à la règle de politesse sur l'avis et le consentement éclairé. On se tromperait. Le Canada mène depuis des années une lutte diplomatique féroce contre l'inscription du chrysotile à la liste prévue à la Convention. Comme aucune démocratie occidentale n'appuie la position du Canada, il s'est donc rallié quelques pays moins scrupuleux comme l'Iran, la Russie et le Zimbabwe5.

Selon le comité d'examen de la Convention de Rotterdam, qui évalue les substances avant de les inscrire à la liste, «indubitablement, le chrysotile est une substance cancérogène pour l'homme6». L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et d'autres organismes internationaux sont du même avis7–9. Même le gouvernement du Canada reconnaît que «les fibres d'amiante sous toutes leurs formes, y compris le chrysotile, sont cancérigènes5».

Le Canada soutient toutefois que «le chrysotile est un cancérigène de moindre puissance […] et que, de ce fait, il pose un moindre risque pour la santé5». Dans un argument qui a des relents de la stratégie de l'industrie du tabac sur les cigarettes légères, le Canada défend le chrysotile en affirmant qu'il est plus sécuritaire que d'autres formes d'amiante.

Affirmer que le chrysotile est plus sécuritaire, cela ne veut toutefois pas dire qu'il est sans danger. Le chrysotile est certainement différent chimiquement des autres formes d'amiante appelées amphiboles. L'exposition à l'amiante amphibole cause des maladies professionnelles et environnementales notoires et la mort : l'OMS estime que 100 000 décès évitables dans le monde par année sont causées principalement par le mésothéliome et le cancer du poumon7. La question de savoir si les mêmes maladies existeraient si on limitait l'amiante utilisée au chrysotile pur fait l'objet de débats sans fin.

Or, le débat est en grande partie sans pertinence. On doute que le «chrysotile pur» puisse même exister : les mines ne sont pas des environnements vierges et contiennent souvent des mélanges de chrysotile et d'amphiboles. Or, l'exposition professionnelle au chrysotile ne contenant que des traces de contamination par les amphiboles (de 0,002 % à 0,310 %) suffit pour que les amphiboles s'accumulent dans les poumons pendant la vie10. Le gouvernement du Canada ne surveille pas régulièrement les exportations d'amiante pour en déterminer la contamination par les amphiboles, ce qui est troublant. C'est pourquoi l'affirmation selon laquelle il fournit un produit pur et sécuritaire ne repose sur aucune preuve et est douteuse.

Le fait que le chrysotile puisse être contaminé par des amphiboles est une vérité dérangeante qu'on oublie souvent dans les études financées par l'industrie (voir l'article de la section actualités, page 886)11. C'est seulement en ne tenant pas compte des publications financées par l'industrie qu'on peut dégager un tableau plus clair. Au cours des études sur l'exposition au chrysotile soi-disant pur, on constate une augmentation moindre mais quand même importante du nombre des cas de cancer du poumon et de mésothéliome12–15. Dans la méta-analyse la plus récente, certaines sources de chrysotile semblent aussi puissantes que les amphiboles pour causer le cancer du poumon16,17. Il n'est pas étonnant que l'OMS recommande que «la façon la plus efficace d'éliminer les maladies liées à l'amiante consiste à mettre fin à l'utilisation de tous les types d'amiante7.»

Mettre fin à l'utilisation de l'amiante, c'est précisément ce que le Canada fait — mais au Canada seulement.

En pratique, cela pue l'hypocrisie. Le Canada a limité l'utilisation de l'amiante afin d'éviter d'exposer les Canadiens au danger, mais il demeure le deuxième exportateur d'amiante en importance au monde18. L'amiante produite au Canada est exportée dans une proportion de 96 %, principalement dans des pays en développement comme l'Inde, l'Indonésie et la Thaïlande, où elle est transformée principalement en amiante-ciment destiné à la construction5.

Le Canada soutient que ses exportations ne sont pas nécessairement dangereuses, à condition que les pays importateurs utilisent le produit de façon sécuritaire et si «des pratiques, des règlements et des programmes équivalents à ceux du Canada sont en place». Cet argument semble intéressé. La plupart des pays industrialisés, y compris le Canada, ont conclu que leur système de santé et de sécurité au travail qu'il n'était pas possible de manipuler l'amiante en toute sécurité et c'est pourquoi ils ont adopté des solutions de rechange efficaces et abordables19. Prétendre, pour le Canada, que l'Inde, la Thaïlande et l'Indonésie peuvent réussir à gérer l'amiante en toute sécurité lorsque les pays industrialisés ont échoué, c'est fantasmer.

Le Canada est plus que simplement un gros exportateur d'amiante. Pour maintenir l'industrie de l'exportation en vie, il en est devenu un grand promoteur. Ottawa a injecté plus de 19 millions de dollars dans l'Institut du chrysotile, groupe de représentation qui était auparavant l'Institut de l'amiante avant que ce nom ne soit plus de bon ton5. Grâce aussi à du financement du gouvernement du Québec, l'Institut est voué à promouvoir le bobard de l'utilisation sécuritaire et à défendre contre ses critiques un minerai attaqué de tous côtés.

Ce qui est étrange, c'est que la largesse du Canada disparaît lorsque vient le moment d'aider les pays en développement à faire face aux retombées de l'exposition à l'amiante, qui durent pendant des décennies. Il n'y a «aucun programme relatif à l'amiante par l'entremise duquel le gouvernement du Canada verse une aide financière directe aux pays en développement5». Le Canada adopte une éthique souterraine lorsqu'il s'enrichit avec les exportations d'amiante mais laisse tomber les pays en développement qui doivent s'en remettre à leurs propres moyens pour traiter les gens rendus malades par l'amiante ou trouver des produits de remplacement de l'amiante-ciment qui semblent coûter environ 30 % plus cher20.

Il y a un an, il semblait que le Canada allait revoir sa position. Santé Canada a convoqué un comité international d'experts scientifiques pour étudier les risques posés par l'exposition au chrysotile. Le comité d'experts a produit son rapport en mars et Santé Canada a promis de le publier peu après. Or, au moment d'aller sous presse, le rapport est secret depuis plus de 6 mois et des sources indiquent au JAMC que l'interdiction de publier provient du Cabinet du premier ministre. En revanche, l'Environmental Protection Agency des États-Unis a convoqué un groupe d'experts semblable — sauf que l'exercice est transparent et que le public est invité aux réunions21. Il ne faut donc pas s'étonner que le président du comité de Santé Canada ait écrit depuis au gouvernement pour se plaindre que «le Canada a une réputation plutôt sombre dans la majeure partie du monde des sciences de la santé22».

La critique est malheureusement méritée. Il est inexplicable que le Canada exporte de l'amiante à des pays pauvres qui ne peuvent l'utiliser sans danger. Il est toutefois inexcusable de descendre beaucoup plus bas pour étouffer le résultat du travail d'un comité d'experts, d'injecter des millions de dollars dans un institut qui est le petit copain de l'industrie et de s'opposer même à la simple règle de politesse prévue dans la Convention de Rotterdam. Le gouvernement du Canada semble avoir calculé qu'il est préférable pour l'industrie de l'amiante du Canada d'agir dans l'ombre comme les marchands d'armes, sans égard aux conséquences mortelles. Il ne pourrait y avoir de plus claire indication que le gouvernement sait que ses agissements sont scandaleux et répréhensibles.

Le JAMC exige que le gouvernement du Canada mette fin à cette charade mortelle. Le Canada doit cesser sur-le-champ de s'opposer à l'inscription du chrysotile aux processus de notification et de consentement prévus dans la Convention de Rotterdam et cesser de financer l'Institut du chrysotile. Mais il importe encore davantage que le Canada fasse sa part pour enrayer l'épidémie mondiale de maladies reliées à l'amiante en mettant fin à l'extraction et à l'exportation du chrysotile, ainsi que le recommande l'OMS.

Footnotes

  • Traduit par le Service de traduction de l'AMC.

    Avec l'équipe de rédaction de l'éditorial (Paul C. Hébert MD MHSc, Rajendra Kale MD, Barbara Sibbald BJ, Ken Flegel MDCM MSc et Noni MacDonald MD MSc).

    Intérêts concurrents: Aucuns déclarés pour Daivd Boyd. Voir www.cmaj.ca/misc/edboard.shtml pour les déclarations de l'équipe de rédaction de l'éditorial.

RÉFÉRENCES

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Canadian Medical Association Journal: 179 (9)
CMAJ
Vol. 179, Issue 9
21 Oct 2008
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